Les Confiseurs de France préparent Halloween ! Connaissant un engouement réel depuis quelques années, Halloween est devenu une célébration à part entière dans le paysage festif français. Les Confiseurs de France, dans une récente étude réalisée par L’ObSoCo sur le rapport des Français et leur attachement aux bonbons et confiseries, ont mené l’enquête :
Comment la fête d’Halloween est perçue en France par les enfants et par les adultes ? Est-ce que la fameuse devise « Trick or Treat» lors de la chasse aux bonbons est devenue incontournable dans notre pays ?
Voici les résultats en avant-première :
Si 61% des Français déclarent fêter Halloween, cet événement reste grandement plébiscité par les moins de 45 ans. En effet, 76% des 18-24 ans fêtent Halloween. Par ailleurs, la célébration d’Halloween se trouve être une pratique plus courante dans les foyers avec au moins un enfant âgé de 7 ans ou moins (76%). Sorcières, bonbons et citrouilles sont au rendez-vous et permettent de réunir tous les Français, petits et grands, afin de profiter d’un moment de partage. Certaines coutumes ont su séduire les Français, qui apprécient célébrer ce moment avec des décorations (41%), des déguisements (50%) ou encore la chasse au bonbons (33%). Les confiseries sont devenues un symbole fort, voire incontournable du 31 octobre et ce sont 53% des Français qui l’associent principalement à ces petits plaisirs. Et si plusieurs traditions animent cette journée, la plus appréciée s’avère, pour 57% des répondants, d’offrir et de distribuer des bonbons. Symboles d’une transmission transgénérationnelle à l’instar d’Halloween, les bonbons et confiseries sont pour les consommateurs un plaisir de leur enfance qu’ils aiment transmettre et faire découvrir.
Les confiseries, bonbons et chewing-gums, « un petit plaisir » particulièrement important dans le contexte actuel. Au vu du contexte actuel, la confiserie se place toujours comme une valeur refuge, un plaisir qui rassure. 62% des consommateurs de confiseries déclarent que « dans le contexte actuel, heureusement qu’il y a les confiseries pour décompresser et se faire plaisir », tandis que 69% affirment que « les bonbons et confiseries permettent d’enchanter le quotidien ». Un temps fort pour la Profession : une édition 2022 qui rivalise d’imagination A quelques semaines d’Halloween, la profession espère que cette édition 2022 continue de rassembler les Français, entre partage et convivialité. Très populaire dans la culture anglo-saxonne, Halloween a su s’imposer petit à petit en France et est devenu un véritable temps fort pour le secteur de la confiserie. En effet, l’édition 2021 a été un grand moment festif.
15 % du chiffres d’affaires annuel de la catégorie a été réalisée sur la période d’Halloween, avec 35% du CA promotionnel concentré uniquement sur le mois d’octobre. Cette activité avait permis l’an dernier de soutenir la catégorie des bonbons et confiseries, qui a particulièrement souffert de la crise sanitaire sans précédent que nous avons connu, ponctuée par plusieurs confinements (une évolution du CA sur la période de 16,3 % par rapport à 2020) Cette année, les créateurs de petits plaisirs ont redoublé d’efforts pour proposer des bonbons de toutes sortes gourmandes, originaux et effrayants. Les confiseurs sont prêts à régaler petits et grands pour cette édition 2022. Synonymes de partage et de convivialité, les bonbons et les confiseries sont des petits plaisirs emblématiques de notre patrimoine culturel, gastronomique mais aussi de notre quotidien. Un bonbon ou un sort ?
Méthodologie : Les données de l’étude quantitative s’appuient sur une enquête réalisée en ligne auprès d’un échantillon de 1 000 personnes représentatif de la population de France métropolitaine âgée de 18 à 75 ans. L’enquête a été réalisée en ligne par L’ObSoCo sur le panel Respondi du 04 au 10 mai 2022. La représentativité a été établie suivant la méthode des quotas selon les critères suivants : âge, sexe, région, taille de l’agglomération de résidence et de la catégorie socioprofessionnelle. À l’issue du terrain de l’enquête, les données ont été redressées sur l’ensemble des critères ayant servi de quotas afin de pallier les écarts résiduels entre la structure de l’échantillon et celle de l’ensemble de la population.